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Les 100 ciels

une globule méchante jetée nonchalamment sur le monde

Les connasses sont aussi des connards qui sont eux-mêmes des abrutis comme les autres

Petit mode d'emploi de cet article

Pour les nouveaux et surtout, pour vous les nouvelles, l'une des particularités particulière de ce blog  est de dresser une encyclopédie de la connerie intitulée : les connards sont des abrutis comme les autres (cf précédents articles de la collection). Cette encyclopédie, comme toutes les encyclopédies du monde, a pour but de recueillir et de répertorier un maximum d'histoires vécues à la con, afin de les transmettre aux générations futures, afin, et avant tout,  pour que la connerie ne se perde pas au fil du temps qui passe, bien qu'il soit maintenant fort probable que la connerie universelle soit aussi, malheureusement, éternelle.

En voici donc, un nouvel épisode. Toutes ces histoires sont totalement vraies et -à peine- tirée par les cheveux capillaires. Qu'on se le dise .

 

Aujourd'hui : le connard est une connasse !

 

 

 madame connasse c'est aussi   ...

 

madame pétasse, mais ces deux connes n'ont rien à voir avec

 

Merlin l'emmerdeur qui lui est vraiment un sacré connard (mais avec des pouvoirs, quand même)

 

 

De la belle connasse de supérette !

Comme il est bon de retrouver l'insoutenable légéreté de la connerie (hommage à Kundera). Ce soir, je me suis rendue (rien à voir avec le vomi) dans une supérette (un market comme ils disent, puisqu'il est de bon ton de parler anglais en France alors qu'on ne maîtrise déjà pas notre propre langue, enfin bon, faut que j'arrête avec mes parenthèses) pour m'acheter quelques trucs manquants à la maison (puisqu'il manque toujours quelque chose, c'est un fait exprès pour nous faire retourner dans le market, parce que même pour acheter un truc on en achète deux et arrête avec tes parenthèses ou je te pends avec l'élastique de ton slip).

Reprenons... après avoir pris mes machins trucs, je me dirige vers la caisse. Devant moi, un jeune con. Le jeune con achète vraiment n'importe quoi parce qu'il est rebelle et qu'il se fout de sa santé. Donc le jeune con achète pour le dîner : un quatre-quart et une bouteille de coca. Le jeune con étant au téléphone, il n'entend pas que le caissière lui dit bonsoir. La caissière encaisse le bordel, et, alors qu'elle a appuyé sur le total, il lui indique qu'il veut acheter un sac, ce qui agace particulièrement la caissière qui doit annuler le premier total. Elle encaisse le sac à la con, et elle annonce le prix. Et là, cet abruti congénital lui présente sa carte de fidélité. Oh punaise...nan parce que TOUT LE MONDE SAIT que l'on présente sa carte de client fidèle avant, parcequ'après ça marche pas puisque, je vous le rappelle et parlez moi sur un autre ton, qu'elle a appuyé sur le total. Donc elle lui dit que c'est trop tard, et qu'il a pas à être au téléphone comme un malpoli, et que déjà elle a dit bonsoir et qu'il a même pas répondu. Vous en serez d'accord avec moi, elle a raison. Le jeune qui se croit très désirable malgré son acné du menton, tente de faire du charme, la caissière, cette pouf hormonalement ébouriffée par le printemps rougit comme une carte du parti Socialiste, et elle lui dit que, hihihi quand même ça se fait pas, et que quand on est au téléphone on ne peut point entendre ce qui se passe autour. En gros, elle a voulu lui expliquer que, comme il est concentré sur sa conversation sûrementd'une importance capitale, il ne verra pas l'enclume qui lui arrivera dans la gueule. Après quelques ricanements ridicules, le jeune s'en va avec son quatre-quart à la con et son coca qui pue.

 

Le final grandiose de la connasse de comptoir

C'est à mon tour, je lui refile rapido ma carte de fidélité (putain, tout ça pour avoir 20 centimes de réduction sur le pâté, faut être motivée, mais ça tombe bien, je le suis), elle encaisse mes machins et là, ô surprise, son téléphone portable sonne avec une sonnerie techno de pauvre fille. Elle tâtonne, je crois qu'elle va le mettre en silencieux,  et bien croyez-moi si vous voulez et même si vous le voulez pas croyez le, elle a pris l'appel !

...............................................................(moment de vide et d'incompréhension face à la connerie).....................................................

 

Je paie en espèces (de conne) et elle met juste plusieurs minutes avant d'arriver à me rendre la monnaie, parce qu'évidemment elle a du mal à suivre la conversation et à compter en même temps (oui pas évident comme opération : total de mes courses 16,12 euros, je lui ai donné 20,12 euros). Là évidemment, j'ai juste envie de rembobiner l'histoire et de lui rappeler dans quel état nerveux ça l'a mis de voir le jeune con au quatre-quart au téléphone pendant qu'elle l'encaissait, j'avais juste envie de lui mettre son téléphone dans la tronche, j'avais juste envie de la taper très fort sur le coin de la caboche...mais j'étais trop hallucinée par le retournement fatal de situation. Cette connasse mono-neurone finit par me rendre la monnaie, et elle était là "mais je t'ai dit hier, faut pas m'appeller quand je suis au boulot, hihihihi", je me suis donc cassée sans dire au revoir.

 

Conclusion du test : la connerie des autres ne s'attrape pas, mais elle rend impoli, et donc associal, et donc après on se drogue, le conjoint se barre avec le chien, on boit des panachés, on fait des doigts aux mémés dans la rue, et on finit par décéder en convulsant dans son Bolino lamentablement vomi sur le tapis du salon.

 

Pathétique.

 

et demain : l'Euro existera t-il encore ?

 

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P
<br /> J'avais oublié comme c'était boooooooooooon !!!<br /> <br /> <br />
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R
<br /> Faites ce que je dis, pas ce que je fais.<br /> <br /> <br />
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